Argenteuil : de la Démocratie .
Lors de la séance du Conseil municipal du 24 avril 2006, Le Maire d’Argenteuil a présenté un point supplémentaire à l’ordre du jour ayant trait à l’attribution des salles municipales.
L’opposition municipale, dans sa totalité, s’est prononcée contre le projet du Maire. La délibération votée réduit en effet le droit d’accès aux salles municipales pour des rencontres politiques aux seuls partis politiques, écartant ainsi de ce droit jusqu’en juin 2007 les élus de l’opposition municipale, les associations politiques, les conseillers généraux…
La décision de la droite municipale vise à restreindre, au nom du débat sur les législatives, la possibilité d’expression et de réunion sur d’autres thèmes et notamment celui qui intéresse au plus haut point les Argenteuillais : les élections municipales de 2008.
Le Maire, probablement conscient qu’une forte mobilisation existe pour le contrer en 2008 utilise une basse manœuvre politique pour museler cet engouement...
Dans cette délibération aucun droit n’est reconnu aux élus de l’opposition, ni aux Conseillers généraux qui ont pourtant le droit et le besoin d’organiser des réunions avec leurs concitoyens.
Le débat démocratique à Argenteuil prend décidément une tournure bien spéciale. Le Maire restreint les prérogatives de l’opposition mais soyons certains qu’il se maintiendra son droit d’expression à travers les multiples publications et affichages municipaux.
J’ai saisi, ainsi que de nombreux élus d’opposition, la Sous-Préfète d’Argenteuil afin d’obtenir son point de vue sur la légalité de cette décision. Je suis décidé à utiliser toutes les voies de recours pour que vive, dans le respect des lois de la République et en particulier de la Constitution, une Démocratie saine, ouverte et transparente à Argenteuil.
L’opposition municipale, dans sa totalité, s’est prononcée contre le projet du Maire. La délibération votée réduit en effet le droit d’accès aux salles municipales pour des rencontres politiques aux seuls partis politiques, écartant ainsi de ce droit jusqu’en juin 2007 les élus de l’opposition municipale, les associations politiques, les conseillers généraux…
La décision de la droite municipale vise à restreindre, au nom du débat sur les législatives, la possibilité d’expression et de réunion sur d’autres thèmes et notamment celui qui intéresse au plus haut point les Argenteuillais : les élections municipales de 2008.
Le Maire, probablement conscient qu’une forte mobilisation existe pour le contrer en 2008 utilise une basse manœuvre politique pour museler cet engouement...
Dans cette délibération aucun droit n’est reconnu aux élus de l’opposition, ni aux Conseillers généraux qui ont pourtant le droit et le besoin d’organiser des réunions avec leurs concitoyens.
Le débat démocratique à Argenteuil prend décidément une tournure bien spéciale. Le Maire restreint les prérogatives de l’opposition mais soyons certains qu’il se maintiendra son droit d’expression à travers les multiples publications et affichages municipaux.
J’ai saisi, ainsi que de nombreux élus d’opposition, la Sous-Préfète d’Argenteuil afin d’obtenir son point de vue sur la légalité de cette décision. Je suis décidé à utiliser toutes les voies de recours pour que vive, dans le respect des lois de la République et en particulier de la Constitution, une Démocratie saine, ouverte et transparente à Argenteuil.